Après des études d’Economie, et un diplôme de l’école Icart-Photo en 2011, Capucine Granier-Deferre suivra pendant plusieurs mois des familles Roms à Bondy, dressant un portrait au quotidien d’une minorité délaissé, sujet qui sera primé et publié par Paris-Match. Elle couvrira ensuite les élections en Tunisie et en Egypte, ainsi que les funérailles de Chokri Belaid en Tunisie. Ce travail photographique sera exposé dans le cadre de l’exposition « regard sur la jeune génération de photographe » du Prix Bayeux des Correspondants de Guerre à l’automne 2013.
Capucine Granier-Deferre se rendra à de nombreuses reprises en Haïti pour suivre la situation et la reconstruction du pays, continuant également un projet personnel sur l’Islam en Haïti, et le portrait d’un jeune Haïtien.
En septembre 2012, Elle suivra pendant plusieurs mois la lutte des ouvriers de Peugeot suite à l’annonce de la fermeture de l’usine d’Aulnay-Sous-Bois, reportage qui sera projeté à Visa Pour L’Image à Perpignan en 2013.
Depuis Avril 2014, Capucine Granier-Deferre documente la crise qui oppose les forces ukrainiennes aux forces pro-russes, plongeant l’est de l’Ukraine dans une guerre civile.
Capucine Granier-Deferre travaille régulièrement pour la presse Française et Internationale.
